Un batiment lugubre : La Confrérie Noire ?

Karasu avait trouver un papier chiffoner sur lequel un certain Orochimaru avait écrit qu'il recrutait des membres pour une confrérie de chasseurs de démons, appelée
Confrérie Noire. Bien que cette proposition l'interréssait, le papier n'indiquait pas comment se rendre au QG de cette confrérie.
Pourtant il se tenait maintenant devant ce qu'il croyait être le QG , des cadavres encore chauds jonchaient un sentier menant à l' entrée de la bâtisse, d'autres plus vieux étaient entassés prés d'une vielle cabane en bois.C'étaient ces cadavres qui l'avait attiré ici seul un repaire de chasseurs de démons pouvait allécher tant de démons,inconscients des pièges parsemés autour de la bâtisse,qui finissaient en nourriture pour les charognards.
Karasu observa les alentours à l'affut du moindre piège.
-Le sentier n'a aucun piège ! Alors ce sont des chasseurs qui ont tués les démons qui jonchent ce sentier.
Il se laissa glisser le long de la paroi et s'arrêta sur le sentier qu'il emprunta jusqu'à la porte. Arriver devant la porte il fit sonner une cloche et se mis attendre que quelqu'un l'accueil.

- Tiens... C'est la première fois qu'on sonne... C'est pas normal...

Orochimaru discutait toujours avec l'androgyne en cuir, il n'avait pas l'air d'avoir entendu...

- Ok ok... Je vais ouvrir... Il est quand même chier, c'est lui le boss non ?

J'ouvrais la porte et me trouvais face à un bonhomme plutôt jeune, mais à l'air triste...

- Bonjour. Puis-je vous aider ? J'ai la classe en majordome, manque plus que la tenue... ^^

Karasu fut surpris par cet accueil il s'attendait à avoir une épée sous la gorge et un flingue pointé sur sa tempe.
Karasu regarda l'homme de la tête au pied,l'homme n'était pas plus grand que lui et avait l'air assez jeune. Pourtant Karasu sentit une odeur de sang venir de cet homme, il en conclu que ce dernier était un chasseur.Chasseur qui avait une particularité, il avait des yeux de deux couleurs mais loin de s'attarder sur ce détail Karasu remarqua la garde d'un sabre puis retourna son regard sur les yeux de l'homme et lui demanda:
-Suis-je bien à la Confrérie Noire ?
Il s'arrêta puis reprit :
-Car je cherche Orochimaru-San pour le recrutement....hum...excusez moi...je me nomme Karasu Jubei.

En me voyant, il eu l'air surpris... Je suis quand même pas bizarre à ce point là ?!?

- Oui oui vous êtes bien au repère de la confrèrie noir... Orochimaru est en entretient pour le moment. Je vous prierais de patienter quelques instants dans le salon.

Le priant d'entré, je le conduisis vers le canapé.

- Puis-je vous proposez une collation ?

Putain je m'éclate en majordome !!! Mouhahah !!!

Karasu suivit alors cette homme jusqu'au salon,ce dernier était assez bien éclairé par des vieux lustres où s'étaient logées des araignés.Un vieux canapé ,troué et mangé à certains endroits par des rats, lui fit présenté par le chasseur qui lui demanda s'il souhaitait "prendre une collation" avec un ton léger qui ne fesait pas naturel.
Karasu lui repondut : -Non merci je vais attendre.
Alors il s'approcha de la fenêtre la pus proche , l'ouvrit et se mit à siffler.
Dans la seconde Zaji atterisa sur le canapé.
-De la nourriture ! cria t'il en apercevant des rats qui couraient le long des murs.
-Excusez-le il est un peu spécial...
Sur ces mots Karasu s'assaya , sortit son sabre pour le regarder attentivement
et le montra à l'homme en lui demandant:
-Vous connaîtriez pas quelqu'un qui pourrait me réparer ce sabre ?

Je fut amuser par le corbeau qui venait de se poser sur la fenêtre. Quand Karasu sortit son sabre, je fus surpris et émerveillé. La manufacture était excellente, la ligne parfaite et il était très bien conservé au vue de l'age qu'il devait avoir. Ce katana était une pure merveille.

- Non, je suis désolé. Je ne vois vraiment pas. Il vous faudrait un maître forgeron pour pouvoir le réparer... Oh... Excusez-moi, je ne me suis pas présenté, Goroshi Hito, à votre service, Karasu-sama.

J'avais complètement changé de comportement. Je n'étais plus majordome mais un simple admirateur devant un samouraï.

-Ce n'est pas grave,je trouverais un moyen.Passons, j'aimerais voir le votre si ça ne vous derange pas ?
Karasu remarqua que le chasseur semblait être émerveillé par le sabre.
Puis Zaji dis ouvertement :
-Il y a un moyen Karasu, le japon et Hattori Hanzo.
-Hors de question...repondit calmement Karasu.

"Impossible d'y retourner je sais ce qui m'attend"

Même si il tentait de rester calme,le canapé en fit les frais car Karasu avait cramponner si fort que la bourre sortit.

Je n'aimais pas trop voir mon sabre dans les mains d'un autre guerrier. Mon père m'avait toujours appris que "le sabre est l'âme du combattant, en aucun cas celui-ci ne doit s'en séparer." Mais aujourd'hui la situation était différente, cet homme bien que démon, aspirait à la confiance. Je lui tendais donc mon sabre, tel un présent, dès deux mains, inclinant la tête vers le sol.

- Euh... Oui bien sûr tenez.

Il avait paru s'enerver quand le corbeau avait mentionné le nom de Hattori Hanzo, non il s'était enrvé tant et si bien quand s'agripant au canapé la mousse en était sortie.

Karasu reprit son calme puis pris le sabre tendu par Hito, il regarda en le tournant vers la droite puis vers la gauche et fini par le pointer vers Hito.D'un oeil avisé Karasu examina la ligne du sabre puis demanda:
-Deux mains ou une mains pour le combat ? Et vous misez sur la technique,rapidité ou la force ?

"Ce jeune à un sabre de maître,de plus il est trés résistant, ce petit pourrait être trés doué"

Karasu tendit le sabre la garde vers Hito en lui disant:
-Votre grand père est un homme sagace(plein de sagesse) suivez son conseil et vous suivrez le bushido.

hs:desoler c'est juste pour une info pour ma presentation je fait comment car je vois plein de membres mais que ma presentation donc je me dit que je me suis peut etre trompé quelque par ou je sais pas on peut m'aider??

hs non non tu ne t'es pas planté. Les admin ont du faire un peu de ménage... Ce qui est en soit un peu stupide... Bref. Laisse ta présentation là ou elle est et si un admin repasse par ici il validera.

ok merci beacoup desolé pour le derangement du hs^^

Karasu reprit son calme puis pris le sabre tendu par Hito, il regarda en le tournant vers la droite puis vers la gauche et fini par le pointer vers Hito.D'un oeil avisé Karasu examina la ligne du sabre puis demanda:
-Deux mains ou une mains pour le combat ? Et vous misez sur la technique,rapidité ou la force ?

"Ce jeune à un sabre de maître,de plus il est trés résistant, ce petit pourrait être trés doué"
Karasu tendit le sabre la garde vers Hito en lui disant:
-Votre grand père est un homme sagace(plein de sagesse) suivez son conseil et vous suivrez le bushido.

ps:relance à cause du hs

- Une seul main en combat, je préfère en avoir une toujours libre au cas où... Je mises plus sûr la rapidité et la technique... Même si je ne porte la plus part du temps qu'un seul coup...

Je repris le sabre et le rangeais à ma ceinture, à droite.

Karasu était aussi gaucher laissant de côté ce détail il s'intérressa à ce que Hito venait de prononcer.
"Un seul coup,ce n'est pas un petit,c'est un prodige"
Il reprit:
-Alors vous éviter de prendre des coups et en même temps vous analysez
la brèche de l'ennemi.Pour la technique, vous contre-attaquer aprés avoir briser la garde de l'ennemi ou vous parer ? Pour ma part je combat à deux mains et la rapidité et la force,je veux esquiver les coups et arriver à lui pour le transpercer gràce à la force de mes bras car mon sabre ne tranche plus.
Il laissa un silence puis continua:
-Je dois vous ennuyer avec mon discours de vieux maître.

- Non non, bien aux contraire... Les anciens ont tellement à nous apprendre...Pour tout vous dire, je ne rentre pas en force. J'essaie de trouver le point le plus vulnérable et je me sers un maximum de mon environnement, exploitant le moindre recoin. Pour ça je dois sans cesse esquiver, mais je me fatigue un peu trop vite... Mais je n'ai plus le temps de m'entrainer, de plus en plus de démon traverse et la population est en danger quasi permanent... Alors je fais en sorte que les combats soient bref. Excusez moi je m'emporte un peu, quand il s'agit de combat j'ai tendance à beaucoup parler ^^'.

"Il se bat comme les ninjas mais pourtant il à un coeur de samurai"
Karasu ne parlait peu au gens mais cette fois c'était différent, il avait confiance en ce jeune homme.
Il se lança ;
-Vous vous battez pour la population que vous voyez comme votre famille.J'étais comme ça à une époque trop lointaine...jusqu'au jour où je suis passer de l'autre côté...seulement...je ne regrettais pas mon sort tout ce que je voyais c'était le pouvoir.Ma vie se résumait à massacrer des gens en étant payé par différent seigneur,puis par des généraux.Puis à la fin de la deuxième guerre j'ai quitter mon clan et j'ai voulu me donner la mort...
Il tend le doigt sur Zaji.
-Il m'a empécher de le faire et ma dit que j'aurai de mes meilleurs intentions dans mon futur.Et aujourd'hui je suis ici...
Il aurai voulu pleurer mais il ne pouvait pas, Zaji le regardait mais ne dit rien.

Même si ce genre de geste était impardonnable, je n'arrivaivs pas à lui en vouloir. Mais...
- Nous aurions beaucoup perdu si vous aviez... Je laissais un blanc. Evoquer un passé douloureux c'était réveiller de vielles blessures, et je ne le voulais pas...Dois-je comprendre qeu vous êtes ici pour... expier vos fautes...
Cet homme était étrange masi inspirait à un sentiment de confiance. A ce moment là, si nous avions été attaqué par je ne sais quel monstre, j'aurais sans hésiter mis vie entre ses mains.

Karasu le regardit droit dans les yeux et dit :
-Oui c'est ça.
Il se leva s'approcha de la fenêtre et sortit une antique montre à gousset,souvenir d'une bataille,la regarda puis il s'adressa à Hito:
-J'ai été enchanté de faire votre connaisance mais je voie que l'heure tourne et que votre chef n'est pas disponible.Donc je vais devoir vous faussez compagnie.
Il fit signe à Zaji qui finit son rat et s'envola par la fenêtre sans dire un mots.
Avant d'ouvrir la porte Karasu se retourna vers Hito et lui dit:
-Si vous avez besoin d'aide ou d'entraînement vous me trouverez au motel Chez Lucien en ville ,aurevoir.
Sur ces mots il ouvrit la porte et partit.